Nos valeurs

Des chaussures de danse pour être bien équipé… à la danse comme à la ville !

Les pieds, les chevilles et les genoux sont très sollicités lorsqu’on danse le tango, en particulier perché sur des talons. Pour pratiquer dans les meilleures conditions, outre un excellent soutien et une grande stabilité, les chaussures que vous portez doivent offrir un amorti optimum afin de réduire l’impact des nombreux micro-chocs.

Grâce à la conception originale de leurs semelles internes, les chaussures Lalatango allient un amorti durable dans le temps à un confort exceptionnel et contribuent ainsi à protéger les articulations, permettant de se concentrer sur la danse et son partenaire. Elles se déclinent en de nombreux modèles, coloris et hauteurs de talons afin satisfaire un maximum de goûts.

Lalatango s’est donné comme objectif de faire coïncider performance et confort.

Nous avons à cœur de fournir des chaussures de qualité pour satisfaire aux exigences de performances et de technicité des danseurs. C’est pourquoi elles sont si confortables à la ville. En effet, qui de plus exigeant en matière de chaussures à talons qu’une danseuse de tango ?
Ce sont nos client.e.s qui en parlent le mieux !

Nous sommes à votre disposition pour vous conseiller pour vous aider à vous équiper en fonction de vos critères et vos exigences.

 

Nos valeurs, un concept « slow »

Conçues et dessinées en France, nos chaussures sont réalisées à la main au Portugal par une petite équipe d’artisans détenteurs d’un formidable savoir-faire ancestral, capables de réaliser un travail d’exception.

Nous favorisons les circuits courts. Nous soutenons une mode responsable et choisissons une production raisonnée afin de vous offrir une "chaussure européenne" au prix le plus juste.

Les modèles sont fabriqués en édition limitée afin de vous offrir une grande diversité de modèle tout en maîtrisant la production.

Depuis 2020 les doublures sont toutes réalisées dans un cuir garanti "sans chrome" et les boucles d'attache sont sans nickel.

 

Le saviez-vous ? Le cuir est un déchet revalorisé !

(extrait de l’article « Le cuir : n’est pas cuir qui veut » par Thierry Poncet. Publié par le Centre Technique du Cuir le 02/12/2019)

"Le cuir provient d’un déchet de l’industrie agro-alimentaire et, précision importante, l’animal n’est pas tué pour sa peau. La consommation mondiale de viande étant en croissance, le nombre de peaux disponibles augmente. Ce gisement doit être traité et refuser de valoriser des déchets (au nom d’une idéologie hostile à ce qui a produit ces déchets) est un contresens écologique. Non seulement cela augmente la masse des rebuts, dont il faut bien faire quelque chose, mais cela oblige également à utiliser d’autres matériaux pas nécessairement renouvelables.
De la peau-déchet va sortir une matière noble : le cuir.

Au contact d’agents tannants, la peau devient imputrescible et se transforme en un matériau très durable, possédant de nombreuses propriétés. Cette capacité de la peau à se transformer en cuir a été repérée dès la Préhistoire. Elle a donné lieu depuis à de nombreuses recherches, afin de comprendre ce phénomène et d’en améliorer le processus, et cela, à travers toutes les époques, cultures et continents, tant l’usage du cuir a paru fort utile."